Faire table rase du passé n'est pas toujours chose aisée. On le voit, le président américain Barack Obama a construit sa politique en prenant l'exact contre-pied de son prédécesseur à la Maison-Blanche.
Au coeur de cette redistribution des cartes se trouve le renseignement. La CIA et ses méthodes douteuses de l'après 11-septembre avaient déjà fait l'objet de critiques de la part du candidat démocrate dans la course à la présidentielle, l'année dernière.
Désormais au pouvoir, on assiste donc à un grand coup de balai. Déjà, la nomination de Léon Panetta, à la tête de l'agence, en janvier dernier, avait créé la sensation. Un homme étranger au monde du renseignement dirigeant l'un de ses plus beaux fleurons? Une hérésie pour certains.
Depuis peu, ce sont les méthodes d'interrogation qui font débat. Des procés? Oui mais contre qui? Les agents ayant eu recours aux coups, supplices de la baignoire et autres réjoissances en sont exempt. En revanche, certains anciens responsable du Département de la Justice seront mis en cause.
Hier, un rapport volumineux (263 pages) de la commission des services armés du Sénat américain prolonge la polémique. Nous y reviendrons dans les prochains jours.
En attendant voici le texte, proposé par le site du New York Times.
Au coeur de cette redistribution des cartes se trouve le renseignement. La CIA et ses méthodes douteuses de l'après 11-septembre avaient déjà fait l'objet de critiques de la part du candidat démocrate dans la course à la présidentielle, l'année dernière.
Désormais au pouvoir, on assiste donc à un grand coup de balai. Déjà, la nomination de Léon Panetta, à la tête de l'agence, en janvier dernier, avait créé la sensation. Un homme étranger au monde du renseignement dirigeant l'un de ses plus beaux fleurons? Une hérésie pour certains.
Depuis peu, ce sont les méthodes d'interrogation qui font débat. Des procés? Oui mais contre qui? Les agents ayant eu recours aux coups, supplices de la baignoire et autres réjoissances en sont exempt. En revanche, certains anciens responsable du Département de la Justice seront mis en cause.
Hier, un rapport volumineux (263 pages) de la commission des services armés du Sénat américain prolonge la polémique. Nous y reviendrons dans les prochains jours.
En attendant voici le texte, proposé par le site du New York Times.
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